Parentalité positive , une éducation basée sur la communication
Parentalité

Méthodes CNV et parentalité positive : pour mieux éduquer son enfant

Reproches, colère, punitions et frustrations, c’est souvent les résultats d’une communication mal établie entre les parents et les enfants. Nous étions habitués à lever la main, à soumettre l’autorité et à attendre une obéissance infaillible de la part des enfants.

Quelles méthodes pour une meilleure approche éducative ?

Ainsi, devant certaines oppositions, nous nous confrontons à des heurts, les enfants tout comme les parents, se sentant incompris. Des psychologues ont déjà fait une étude sur cette relation parents- enfants, afin de trouver une meilleure façon d’éduquer les enfants sans établir la frustration des deux côtés. Nous en retenons deux méthodes, la Communication Non Violente CNV élaborée par le psychologue Marshall B.Rosenberg dans les années 70 et la « parentalité positive » introduite par le psychologue Thomas Gordon.

La communication non violente

Education parentale La communication non violente consiste à donner la parole pour laisser l’enfant exprimer ses besoins et ses sentiments. Cela nécessite de comprendre les besoins de chaque enfant selon son âge et d’adopter une éducation non sévère lorsqu’il s’agit de réprimer l’enfant. Cela implique donc une écoute attentive, ce qui ne veut pas dire que tous les besoins de l’enfant seront assouvis. C’est surtout l’instauration d’une bonne communication pour une bonne compréhension.

La parentalité positive

La parentalité positive implique une communication non violente avec l’enfant sans pour autant perdre son autorité. Il ne s’agit donc pas de pratiquer une éducation permissive, mais seulement de respecter son enfant tout en définissant un cadre et des limites face aux abus.